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 TRANSPORTS D'ANIMAUX il n'y a pas de lois pour ces animaux

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MessageSujet: TRANSPORTS D'ANIMAUX il n'y a pas de lois pour ces animaux   TRANSPORTS D'ANIMAUX il n'y a pas de lois pour ces animaux EmptyVen 9 Mai - 5:14

TRANSPORTS D'ANIMAUX

TRANSPORTS D'ANIMAUX il n'y a pas de lois pour ces animaux Freemerealha7 https://www.youtube.com/watch?v=8zVL9lDW7RE

TRANSPORTS D'ANIMAUX il n'y a pas de lois pour ces animaux Routeabattoirkg4

http://www.farmsanctuary.org/issues/factoryfarming/

http://www.peta.org/ Meet your Meat
Si vous pouviez entrer dans l'un de ces camions, vous seriez tout de suite frappé par l'odeur. Il ne vous faudrait pas longtemps pour constater que la ventilation y est pour ainsi dire inexistante. Vous auriez tôt fait de découvrir une chaleur torride l'été, un froid mordant l'hiver. Vous verriez que ces animaux - des ruminants dont l'estomac ne peut fonctionner adéquatement que s'il est alimenté de façon quasi continuelle - doivent parfois passer jusqu'à trois jours et trois nuits sans rien à manger ni à boire.

Si vous pouviez observer le bétail qu'on expédie actuellement, vous constateriez que la fièvre du transport n'est qu'une cause de mortalité parmi plusieurs autres chez le bétail en transit. Aucune n'entraîne une mort particulièrement facile pour ces doux animaux. Vous verriez le bétail geler à mort l'hiver. Vous le verriez s'écrouler et mourir d'épuisement à cause de la chaleur et de la déshydratation grave en été. Vous le verriez suffoquer lorsqu'il se retrouve empilé à chaque virage que prend le camion surchargé.

Si vous vous trouviez dans les parages lorsque les animaux arrivent à destination, vous verriez que ceux qui ont survécu au voyage sont dans un état lamentable. Non seulement peuvent-ils avoir contracté la fièvre du transport, mais ils sont également couverts d'ecchymoses et certains ont été estropiés. À propos, l'industrie définit un «estropié» comme étant: «...un animal qui doit être transporté ou traîné hors du camion,» sous-entendu donc, un animal qui arrive à se traîner malgré ses pattes mutilées ou cassées n'est pas un estropié. De même, un animal n'est considéré officiellement contusionné ( meurtri ) que quand ses blessures sont si mauvaises que sa chair est jugée impropre à la consommation humaine. Apparemment, les ecchymoses des bêtes ne comptent que lorsqu'elles portent atteinte au portefeuille des humains.


ENCANS

Une souffrance qui passe par votre assiette.
Aux yeux de la loi, il n'y a pour ainsi dire aucune limite légale
à ce qui peut être fait aux animaux destinés à notre table.

( FILM CHOQUANT )
Barbarie sur les encans du QUÉBEC Les associations internationales, Animals' Angels et Protection mondiale des animaux de ferme, ont rendu public le 10 décembre 2002, un film choquant qui révèle les nombreux mauvais traitements dont sont victimes les animaux sur les encans québécois. Cliquez ici: http://www.pmaf.org/Canada.html pour visionner les 3 vidéos, dont le troisième n'a pas été diffusé sur les ondes de la télévision québécoise

Trois millions et demi de victimes sacrifiées
Selon les relevés du ministère de l’Agriculture du Canada, tous les ans, trois millions et demi d’animaux de boucherie sont mourants ou déjà morts lorsqu’ils arrivent aux abattoirs soumis aux inspections fédérales. Ce nombre grimpe considérablement si l’on tient compte des chiffres des abattoirs inspectés par les ministères provinciaux.

Les animaux d’élevage au Canada sont maltraités et traumatisés durant le transport : coups de bâton, chocs électriques, privation d’eau et de nourriture, entassement et fatigue durant des voyages qui peuvent durer jusqu’à 72 heures sous des températures extrêmes. Ceux qui s’effondrent en cours de route sont tirés hors des camions au moyen de treuils électriques et de chaînes.

En dépit de la fréquence des mauvais traitements, l’Agence canadienne d’inspection des aliments (la division du ministère de l’Agriculture du Canada qui surveille le transport d’animaux) n’impose d’amendes qu’à environ six camionneurs par année pour violation de la loi. Compte tenu des quelque 500 000 camions qui transportent des animaux vers les abattoirs, le nombre de contraventions est dérisoire.

Le gouvernement canadien a fermé les yeux devant la souffrance de milliers d’animaux, ce qui permet aux industries de l’alimentation d’en faire leur profit.
Les porcs
La loi permet de transporter des porcs et autres animaux mono gastriques durant 36 heures sans eau, sans nourriture et sans protection contre les éléments.

Les porcs sont des animaux sensibles : ils craignent l’inconnu, les bruits du chargement et les changements de température inhérents à leur transport. Il arrive que la peur les paralyse au point de les empêcher de bouger ou de mourir à cause du stress. Durant le chargement et le déchargement, les bêtes traumatisées sont rouées de coups de pied, de coups de bâton, de coups de barres métalliques et autres instruments pour les forcer à monter ou à descendre.

Les porcs sont particulièrement sensibles aux changements de température parce qu’ils n’ont pas suffisamment de poils pour les protéger du froid et qu’ils ne peuvent pas transpirer pour se rafraîchir. En dépit de ces considérations, plus de 250 bêtes s’entassent dans des camions à trois plateformes par des températures allant de –40 °C à +40 °C.

En hiver, ils sont nombreux à geler, collés aux parois métalliques des camions. Ils en sont arrachés au moyen d’un treuil à l’arrivée à l’abattoir. Les animaux morts ou mourants sont déchargés et rejetés.

Au Canada, la loi permet de transporter les poules pondeuses et les poulet sans eau et sans nourriture jusqu’à 36 heures. La loi permet également de transporter les poussins pendant 72 heures après leur éclosion. Le chargement des poulets à rôtir est particulièrement traumatisant. Les volailles sont refoulées dans un coin du poulailler, empoignées plusieurs à la fois par n’importe quelle partie du corps (pattes, ailes, tête), puis entassées dans des cageots de plastique pour le transport. Les fractures d’ailes et de pattes, les dislocations de hanches et autres blessures sont choses courantes durant le chargement et leur rendent le transport encore plus pénible.

Chaque camion peut transporter jusqu’à 150 cageots. De nombreux oiseaux, déjà déplumés par le stress de la ferme d’élevage, meurent de froid, tandis que ceux qui se trouvent au centre du chargement meurent par suffocation.

En dépit de nos températures extrêmes, les camions ne sont pas climatisés. Résultat : tous les ans, 3 000 000 de poulets meurent en cours de route vers les abattoirs soumis aux inspections fédérales. Jusqu’à présent, le gouvernement s’est limité à imposer 500 $ d’amende aux camionneurs qui ont laissé 2 000 poulets mourir de froid.

Le bétail
La loi canadienne permet de transporter des bovins et autres ruminants sans eau ni nourriture durant 48 heures. Cette limite peut même grimper jusqu’à 52 heures si la destination finale est à l’intérieur du pays. En principe, les animaux doivent être bien traités au moment du chargement et du déchargement, mais les lois sont peu mises en vigueur, et rares sont les camionneurs qui les respectent.

L’Agence canadienne d’inspection des aliments reconnaît que le grand nombre d’animaux souffrants qui arrivent aux abattoirs représente un problème. À elle seule, l’Ontario voit annuellement environ 7 000 vaches laitières arriver aux abattoirs provinciaux estropiées par le transport. Et pourtant, le gouvernement ne fait rien pour forcer les camionneurs à se conformer à la loi.

Les amendes sont dérisoires, les inspections sont rares et lorsque les camionneurs sont pris en défaut, ils s’en tirent avec un simple avertissement.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, au cours d’un voyage de 24 heures, le stress et l’épuisement font perdre aux animaux environ 7 % à 9 % de leur poids, ce qui signifie qu’une vache pesant normalement environ 453 kilos en aura perdu 32 à 40 en route vers l’abattoir.
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